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14 mai 2020 4 14 /05 /mai /2020 15:10

Bayonne : Les abords de la cathédrale lors du confinenement.

 Photo : Thomas+Dutour-Shutterstock

En ces temps de pandémie virale deux concepts foncièrement antinomiques se dégagent des attitudes à tenir pour contenir la propagation exponentielle du Covid-19. L'un consiste à isoler les humains afin de préserver ceux-ci d'une propagation du virus  et éviter ainsi une contamination de masse qui mènerait inexorablement à un rapide débordement des moyens hospitaliers, l'autre s'oriente vers une exposition sciemment consentie des individus au virus de façon à parvenir à une  contamination rapide d'environ 60 à 70 % d'entre eux qui mène alors à un blocage de propagation de la contagion pour un moindre coût économique, mais à un bien plus grand nombre de décès auprès des populations les plus âgées en contrepartie.

La première de ces deux doctrines est celle qui a été conséquemment appliquée sous la désignation de "confinement" dans des pays comme l'Italie, l'Espagne ou encore la France et bien d'autres États de par le monde. La seconde, connue sous l'appellation de "d'atteinte du seuil d'immunité collective" a été la voie essentiellement choisie par des pays où règne l'idéologie d'inspiration ultra-libérale comme les USA ou encore le Royaume-Uni.

 

L'analyse ci-après qui nous vient d'un scientifique franco-canadien. Elle contient en filigrane la trame de la dissension  philosophique qui oppose les deux façons de mener ce combat pour la préservation de chacune de nos vies. 

La rédaction d'HENDAYENVIRONNEMENT

 

 

 

L'article est extrait du site Options politiques, publication en ligne de l'Institut de recherche en politiques publiques (IRPP / CANADA). Il est un des éléments du dossier "La pandémie de coronavirus : la réponse du Canada".

 

 

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